Amplify est la suite réussie de Pressure Points en 2005.

Cela marqua un tournant important pour le groupe, à la suite du départ du chanteur / compositeur fondateur Kevin Kinsella, de la perte du bassiste Scott Palmer des suites d’un cancer et de la chirurgie des cordes vocales du chanteur / compositeur Elliot Martin.

Mais cela marquait aussi un autre grand pas en avant pour le groupe, faisant évoluer leur son de future roots depuis les débuts de Spirits All Around Us et de Pressure Points, et en mettant davantage la production sous le contrôle de Martin (collaborant avec le groupe), preneur de son à l’époque, Jason « Jocko » Randall.

Il a également présenté les nouveaux membres du groupe qui contribueraient à façonner la prochaine période de la musique JBB, notamment le bassiste Nate Edgar, le claviériste Matt Goodwin, et la section pour cuivres de Alex Toth et Annakalmia Traver (qui tous deux se séparent pour former le célèbre groupe mondial de pop progressif Rubblebucket).

Le disque contient douze titres originaux (14 sur la version numérique), illustrant la large palette d’influences de JBB : du reggae britannique classique des années 70 à l’instrumentation ouest-africaine, de l’indie rock au western spaghetti.